Le Nano Aquarium

N’oublions jamais que les poissons sont des vertébrés comme nous et donc ressentent la douleur, un état de stress, à la différence de nous, c’est qu’ils ne peuvent pas parler et nous en faire part.
Attention donc à la population et les espèces que l’on va choisir, il est très important en tant que vertébrés nous même de réfléchir au « Bien être de vos ou votre futur habitant, sa vie sera désormais entre vos mains.

Il est également en tant que débutant ou affirmé, de bien comprendre que le volume du bac par rapport à la taille du poisson n’est absolument pas une science exacte.
Un poisson rouge qui va vivre deux ou trois ans dans une boule ou dans un 30 litres sans aucun problème, gardez bien à l’idée que dans un bassin ce même poisson aurait pu atteindre 30 cm et plus et un âge jusque 20 ans, sinon plus.

Pareil pour le Tetra Néon qui aussi petit qu’il soit, a un besoin au moins de 80 cm de façade et de vivre en groupe, il fait partie des poissons grégaires et il ne faut surtout pas négliger ce besoin d’espace de nage sous peine de le voir très souvent malade dû au stress et au manque d’espace.

Les Nano bacs vont de 10 à 60 litres, au-delà on peut déjà commencer à envisager un bac communautaire.

Dans un volume de 10 litres, ce qui est relativement très très peu et surtout, peu recommandé pour un Nano, je pense qu’il y a tout de même des limites aussi à tenir compte en terme de volume.
Mais toutefois il est possible si vous avez craqué pour ce volume, que je ne recommanderai pas, même pour un Nano, d’y placer un couple de killi, attention soyons réaliste là : un seul couple de la même espèce cela va de soi, non seulement pour éviter tout harcèlement, et surtout bien planter le bac pour offrir des cachettes à vos habitants.
Mais toutefois pas n’importe quel killi non plus pour ce volume :

Les espèces qui passent « limite limite » pour un seul couple dans ce volume :
— Fundulopanchax Nigérianus
— Fundulopanchax Gadneri
— Aphyosemion Australe
— Aphyosemion Striatum et toutes les espèces Chromaphyosemion si vous avez la possibilité d’en trouver en bourse ou magasin plus rare.
Il faut savoir que un bac de 20 litres serait déjà nettement mieux pour eux tout de même !
et pas de Betta non plus dans 10 litres.

Le 25/30 litres :
Toutes les sortes de Killis cités pour le 10 litres.
Pour le Betta ça devient un peu viable. (Sachant que parfois dans des plus gros volumes, le betta nage bien partout aussi dans l’aquarium et se sent tout aussi bien, sinon mieux.)
Toutes les espèces de crevettes sp, en se renseignant bien entendu à l’avance sur les exigences, la reproduction et les paramètres demandés de l’espèce choisie.

Il faudra également tenir compte que un poisson mort dans un Nano bac peut engendrer un pic de nitrite rapidement et dans la même journée décimer tous les habitants par la même occasion.
Ceci est bien dû au faible volume du bac, au plus le bac est restreint au niveau du volume, au plus l’environnement reste très fragile.

Le Nano bac pour un débutant est souvent une grande joie à l’achat, mais reste parfois très vite une déception de l’aquariophilie pour toutes les raisons citées ci dessus. N’oublions pas que c’est plutôt une mode actuelle de l’aquariophilie.
Il reste assez bien pour les crevettes sp en se renseignant bien sur les exigences de celles-ci.
Perso je dirais rien du tout dans moins de 25/30 litres sachant que au plus le bac sera grand, au plus l’équilibre restera stable, et au plus le choix des espèces seront importantes.

©Texte : framboizz pour AQUA débutant

La filtration du Nano-aquarium

Le volume des cuves des Nano-aquariums permettent moins d’inertie que celui des gros bacs.
Le Nano-aquarium est donc plus sensible aux perturbations au niveau de la qualité de l’eau et des paramètres qui peuvent vite basculer. Il est donc important que de tels petits bacs nécessitent un système de filtration qui délivre des performances optimales pour l’épuration de l’eau.

Le filtre fontaine

Le filtre fontaine ou dit : le filtre cascade, s’accroche à la paroi arrière, à l’extérieur du Nano-bac. Une pompe amène l’eau de l’aquarium dans le filtre par une canne d’aspiration.
L’eau excédentaire accumulée dans le volume du filtre, du fait de l’alimentation par la pompe, déborde vers l’aquarium sur une rampe. Certains fabricants de Nano-aquariums proposent des variantes, par exemple une fontaine centrale combinée au système d’éclairage qui surplombe la cuve.

Avantages du filtre fontaine :
Est le gain de place qu’il procure dans l’aquarium. Le rejet de l’eau en surface, de haut en bas, contribue à limiter l’accumulation d’un film organique, qui surnage et contrarie les échanges gazeux et la pénétration de la lumière. L’approche la plus efficace consiste toutefois à équiper la canne d’aspiration d’une surverse compacte flottant.
Inconvénients :
Cet équipement, tout comme le filtre fontaine lui-même, est sensible au niveau de l’eau et nécessite une compensation régulière voire automatique de l’évaporation pour les cuves ouvertes.

Le filtre intérieur

Il est composé d’un compartiment de filtration et d’une pompe à travers le compartiment rempli de masses filtrantes.
La variété des masses filtrantes, dépend totalement de la conception du filtre interne même.
Certains filtres fonctionnent uniquement avec des consommables commercialisés par le fabricant même (il est toujours possible de parer à ce problème sur la plupart des marques).
Il est important alors de prendre en compte ces paramètres et voir si il y a une alternative moins coûteuse sur le filtre choisi où, si nous sommes obligés de consommer leurs propres consommables, qui revient très coûteux à la longue, mais bon, à savoir aussi, que c’est souvent le but aussi des fabricants.

Avantages du filtre intérieur :
Il est en général d’un prix assez modique, son installation est plutôt très simple et l’introduction du filtre interne est immédiat. Ils sont d’une filtration mécanique plus ou moins efficace et d’une épuration biologique plutôt suffisante si le modèle est adapté au volume du nano-bac. Le rejet en surface favorise les échanges gazeux avec l’atmosphère, ce qui est bénéfique pour la santé de l’aquarium.
Inconvénients :
Sont plutôt au niveau de la mise en place du filtre dans le bac. Principalement pour le dissimuler dans le décor cela devient un peu problématique, et de plus, si on réussit à bien le cacher, cela devient compliqué pour le nettoyer. Parlons maintenant des problèmes d’accrochage par ventouses.. tous ne se valent pas et ces dernières deviennent très vite inopérantes..
Il y a également souvent un autre petit problème c’est que la chaleur que dégage la pompe immergée peut vite devenir problématique l’été.

Le filtre à compartiments

Appelé faussement la décantation.. il s’agit d’un plastique thermoformé ou d’une plaque de verre qui isole un volume modeste à l’arrière du Nano-aquarium. Ce compartiment comprend une ou plusieurs entrées, et une sortie pour l’eau..
L’intérieur de ce filtre est séparé en plusieurs compartiments : un qui reçoit les masses filtrantes, un qui contient la pompe à eau de refoulement, un le chauffage, etc..

Avantages du filtre à compartiments :
Son coût est compris dans le prix du Nano-aquarium tout équipé, il est plutôt discret et parfois même design car bien intégré dans le visuel par le fabricant.
Les compartiments qui ont été bien conçus et bien pensés par les fabricants, permettent de varier les masses filtrantes, et même de pouvoir y introduire de la tourbe par exemple si besoin.
Inconvénients :
Il prend beaucoup d’espace alors que ce dernier est vital. Difficile d’entretien : pour passer les mains dans les différents compartiments (dans un nano ils sont encore plus petits).
Il n’est pas rare sur certains modèles, de trouver un circuit d’eau qui soit mal conçu, et de ce fait, cela va nuire gravement à l’efficacité de la filtration.

Le filtre extérieur

Il se compose d’un compartiment où se trouve les masses filtrantes surmonté d’une pompe à eau. Cette pompe à eau, en refoulant l’eau pure hors du filtre, aspire l’eau de l’aquarium à travers le compartiment, par l’entrée située à sa base.
Le filtre est installé en dehors de l’aquarium (par exemple dans le meuble sous l’aquarium, l’important étant qu’il soit sous le niveau de l’eau pour faciliter l’amorçage initial et pour prévenir les risques de désamorçage.
Le système est relié à l’aquarium par un tuyau d’aspiration, qui y amène l’eau, et un tuyau de refoulement, qui restitue l’eau purifiée dans l’aquarium. Les tuyaux sont équipés de différents accessoires : crépines ou aspirateur des surface du côté aspiration : tuyère orientable ou canne de distribution du côté refoulement.

Avantages du filtre extérieur :
Il est discret car il libère de la place dans l’aquarium et loge dans la plupart des meubles standards. Son important volume de filtration permet des combinaisons de masses filtrantes variées et une filtration sur mesure.
Inconvénients :
Le nettoyage nécessite une vidange préalable et un réamorçage ultérieur, ce qui les rend fastidieux. Les modèles sans ruissellement consomment beaucoup d’oxygène du fait de leur capacité de filtration aérobie, et il ne faut donc pas employer des masses filtrantes trop denses.

Ouvrez l’oeil, et choisissez bien le model en fonction de vos besoins surtout ! Il vaut mieux réfléchir avant et bien vérifier, plutôt que de faire un achat compulsif au magasin sur un coup de coeur, actuellement on y retrouve un peu de tout et n’importe quoi au niveau des choix de Nano-aquariums..

© Texte : AQUA débutant sur base d’un article paru dans le magazine Aqua mag n°21

Bien choisir son Nano-Aquarium

L’époque où les pionniers des petits aquariums devaient se remettre sans cesse en question pour trouver des solutions pratiques pour leur hobby est bien révolu !
La situation s’est plutôt même inversée et les détaillants aquariophiles de la petite boutique à la grande jardinerie, sont littéralement envahis par les nano. Il en est évidemment de même pour les acheteurs potentiels, pour qui le choix du nano-aquarium idéal, n’est pas simple..

L’offre du nano-aquarium à l’heure actuelle a de quoi faire tourner la tête, d’autant plus que la variété des formes rivalise avec celle des équipements.

La cuve

L’offre des cuves de « nano-bacs » s’étend désormais de quelques litres à 60 litres. Il est possible actuellement de se faire plaisir avec des formes originales, mais le succès de la réalisation se mesurera davantage par le contenu plutôt que le contenant.
Les bacs en vitres plates et collées sont généralement les plus économiques. Les plus petits volumes sont proposés sous la forme de cuves monobloc (bocal, vase, etc.). Le grand classique est devenu la cuve utilisant un collage de vitres cintrées, la forum cubique, courante côtoie des assemblages bien plus osées dans les rayons.

Les proportions de la cuve sont importantes pour la création du décor et la praticité de l’entretien.
Même si ils peuvent être attractifs à priori pour leur côté esthétique dans votre logement, les bacs notablement plus hauts que larges ne sont pas recommandés. On doit aussi mettre de côté les modèles qui ne laissent pas un accès facile à la surface de l’eau. En particulier, une galerie doit pouvoir s’ouvrir et rester aisément ouverte. Il faut noter que la présence de celle-ci empêche les plantes de produire des feuilles aériennes et de fleurir. On évitera certains modèles qui sont agrémentés d’une feuille décorative adhésive et peu durable. Les habillages en plastique doivent être bien ajustés pour que la saleté ne s’accumule pas entre l’habillage et la cuve.

La filtration

Un aquarium ne peut pas se passer d’épuration de l’eau parce qu’il est petit. Les filtres-fontaines ou les filtre intérieurs sont suffisants pour maintenir une bonne qualité de l’eau.
Il faut préférer les modèles qui proposent à la fois une aspiration de fond (pour les particules qui sédimentent) et de surface (pour le film tensio-actif qui surnage) et qui facilitent le remplacement des masses filtrantes.

Une canne de rejet évite qu’un courant trop important ne dérange la faune et la flore ans l’espace restreint de la petite cuve. On veillera à ce que l’appareil soit efficace pour que sa puissance électrique n’échauffe l’eau de l’aquarium inutilement.

L’éclairage

Les tubes fluorescents (linéaires pour les plus grands « nano-bacs », fluo-compacts pour les autres) sont plutôt bien performants et économiques.
On utilise typiquement des teintes de lumière du jour ou jour et/horticole.
Il faut compter une puissance d’au moins 0,5 watt par litre pour satisfaire les exigences de la plupart des plantes.

Les nano-aquariums sont les premiers à bénéficier de luminaire à LED, qui font un peu figure d’épouvantails, derrière leur aspect séduisant. Faute de normes, la disparité des produits est énorme et le meilleur côtoie le pire.
Si on souhaite éclairer un bac planté, il faut impérativement connaître la puissance totale des LED constituant la lampe.
On table sur au moins 0,25 watt par litre.
Certains luminaires à LED intégrés aux nano-aquariums clés en main, utilisent des LED de basse puissance qui, bien que parfois nombreuses, produisent un éclairage insuffisant pour avoir un joli nano-aquarium planté.

On retrouve encore aujourd’hui sur le marché, des cuves équipées de lampes halogènes. Gourmandes en énergie et peu efficaces, elles produisent une lumière de qualité inappropriée et peuvent réchauffer dangereusement l’eau de la cuve.
Cette solution appartient au passé et doit être rejetée, toute comme les lampes dites « lunaires » qui n’ont rien à voir avec un système lunaire artificiel et ne font que traumatiser la faune de l’aquarium.

Pour ces petits volumes, les galeries complètement fermées doivent être correctement ventilées et ne sont pas recommandées si l’aquarium est soumis à une température ambiante élevée (même épisodiquement).
Par-contre, attention aux animaux qui pourraient s’échapper aussi.

Le chauffage

Le chauffage est probablement la partie technique du bac qui évolue le moins. quoi que…
Il faut toutefois veiller à sélectionner un combiné chauffant de puissance modeste (au plus : 1 watt par litre), régulé par un thermostat électronique et de préférence, enrobé dans une enveloppe en plastique plutôt qu’en verre.

Comme vous pouvez le voir, la sélection d’un nano-aquarium fait appel à une combinaison de critères techniques, certains tenant à priori du détail. Les rayons des magasins proposent quelquefois des faux-amis, dissimulés derrière un aspect qui peut être charmant, et des produits bien conçus qui donnent la priorité à une pratique sereine de la nano-aquariophilie.

Faites le bon choix… winking

©Texte repris par framboizz pour AQUA débutant, sur base d’un article paru dans Aquamag n°16

L’éclairage Led pour l’aquarium Nano

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Faire le choix d’éclairage pour un aquarium nano qui est généreusement planté relève souvent d’un parcours d’essais et d’argent gaspillé en divers éclairages avant de trouver celui qui convient parfaitement.
Il est vrai que le nano est un bac aux dimensions réduites qui posent parfois problème en cas d’un besoin d’éclairage intensif pour des plantes assez exigeantes en lumière.

les luminaires à LED avec un succès croissant, peuvent être une solution idéale pour ces très petites cuves.

Différentes catégories..

Les diodes électroluminescentes de faible puissance sont associées en faisceau dans les lampes au format MR-16 ou au simple culot à vis avec une alimentation intégrée : En effet, elles proposent de remplacer les sources lumineuses conventionnelles, typiquement de petits spots halogènes, comme les fluo-compacts ont progressivement remplacé les lampes à incandescence.
Ces premières lampes à Leds sont elles-mêmes rendues obsolètes par des lampes à base de Leds de puissance.

Il faut savoir que les diodes électroluminescentes de puissance sont clairement destinées à l’éclairage en tout genre maintenant. que ce soit sur nos télephones portables, nos flash d’appareil photographique, phares automobiles, éclairage public ou domestique ect.. L’industrie s’est beaucoup améliorée en peu de temps pour les Leds, et nous n’avons pas encore tout vu.. On peut parler aujourd’hui déjà d’une petite révolution de l’éclairage qui se met en place doucement.

Parlons maintenant de ce qui vous intéresse certainement le plus…. ET les Leds pour mon nano-bac qu’en est-il aujourd’hui ?

En aquariophilie il existe pour les bacs nano encore des fluocompactes et là c’est nettement moins cher que les Leds, ce qui est bon à savoir et que cependant les Leds ont une durée de vie nettement supérieure aux fluo-compact.

Efficacité (blanc) : Les diodes blanc froid de pointe présentent des efficacités maximales entre 90 et 100 lm/W. Les leds les plus performantes sont donc comparables aux tubes fluorescents aujourd’hui.

Spectre (blanc) : Les tubes fluorescents haut rendement produisent beaucoup de lumière visible mais sa qualité spectrale est perfectible. Les tubes fluorescents haute définition produisent un spectre très homogène aux dépens de l’efficacité.
Les Leds blanches présentent un spectre relativement équilibré avec des pics bleu et rouge qui correspondent bien à l’absorption des chlorophylles.

Spectre (infrarouge) : Les Leds n’émettent quasiment pas d’infrarouges indésirables, contrairement aux tubes fluorescents pour lesquels la radiation infrarouge dirigée vers l’aquarium par le réflecteur contribue à l’échauffement excessif de l’eau, ce qui un inconvénient majeur pour les Nano-bacs.

Chaleur : Contrairement à un préjugé encore bien répandu, les Leds ne sont pas des sources lumineuses froides. En fait, la quasi-totalité de l’énergie absorbée qu’elles ne convertissent pas en lumière visible devient de la chaleur alors que lestubes fluorescents émettent de la chaleur, mais aussi des ultraviolets, et des infrarouges. La dissipation de la chaleur produite par les Leds, est très importante pour maintenir leurs performances et pour éviter de chauffer l’eau sous une galerie fermée.

Les différents produits, que choisir ?

l’industrie de l’aquariophilie propose tellement de luminaires différents à Leds qu’il est difficile désormais de s’y retrouver, en particulier parce qu’il n’y a pas de norme quand au format qui permettrait de faciliter la comparaison entre les produits.
La difficulté de la sélection est supérieure pour les luminaires compacts destinés au Nano-aquariums, car ce segment est envahi par des produits à bas coût en provenance d’Asie. Ces derniers combinent souvent plusieurs
défauts : leur puissance, spécifiée est faible par rapport au volume de l’aquarium qu’ils prétendent éclairer, les Ledsqu’ils utilisent sont souvent des modèles basse puissance (ce qui est reconnaissable par leur grand nombre d’écart, à la puissance spécifiée) et leur efficacité électrique est contestable également car ils utilisent des composants bas de gamme, on peut aussi se poser la question de leur durée de vie car le refroidissement de ces Leds laisse parfois à désirer.

Pour ne pas avoir de mauvaise surprise, il est plus sûr de choisir un produit aquariophile qui commercialise des luminaires à Led pour les Nano-aquariums et pour les grandes cuves, ou encore choisir dans la gamme des spécialistes du Nano-aquarium d’une marque aquariophile reconnue.

Il y a deux approches concernant la composition spectrales : certains produits n’utilisent que des Leds blanches, généralement de teinte de lumière du jour, alors que d’autres, utilisent une combinaison de Leds blanches et colorées, en particulier rouges. Ces deux architectures conviennent pour la plupart des plantes aquatiques, mais la seconde est plus à même de satisfaire les plus exigeantes.

© AQUA débutant sur base d’un article repris dans le magazine l’aquamag n°36